Les déodorants

La transpiration est un mécanisme biologique naturel qui consiste à éliminer la sueur par les pores de la peau. Elle permet d’évacuer les toxines du corps, tout comme l’urine, et thermo-régule sa température lors d’un effort physique ou d’un coup de chaleur. Elle est composée à 99 % d’eau et 1% de minéraux, d’anticorps et d’éléments organiques, dont les bactéries à la surface de la peau sont friandes. C’est ce processus qui va libérer une odeur désagréable1. Les déodorants, produits cosmétiques, permettent de masquer ces odeurs corporelles avec des parfums ou des biocides. De leur côté, les anti-transpirants, gardent les aisselles sèches en bouchant les canaux des glandes sudoripares avec de l’aluminium chlorohydrate, un sel d’aluminium.

Depuis une quinzaine d’années, les sels d’aluminium sont au centre de nombreuses études scientifiques. Les résultats sont contradictoires et leurs conditions de réalisation souvent non conformes aux recommandations de l’Organisation de Coopération et de Développement Économique (OCDE) et du Comité Scientifique Européen pour la Sécurité des Consommateurs (CSSC). C’est pourquoi, la communauté scientifique et, en France, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé2 (ANSM, ex Afssaps) ne tranchent pas pour une corrélation entre la présence de sels d’aluminium dans le sang et les urines et le cancer du sein3.

Cependant, les nombreuses polémiques poussent cette dernière à se pencher, en 2011, sur l’évaluation du risque lié à l’utilisation de l’aluminium par voie cutanée dans les produits cosmétiques2. Elle conclue que malgré quelques rares cas d’irritation de la peau et surtout l’insuffisance de données toxicologiques, cette exposition ne présente pas un risque cancérogène avéré. Néanmoins, l’ANSM fait deux recommandations importantes :

  • Limiter la concentration d’aluminium dans les anti-transpirants à 0,6 %
  • Ne pas les utiliser directement sur des aisselles qui viennent d’être rasées ou sur une peau lésée et préconise que cette information figure sur les conditionnements.

En parallèle, la célèbre cancérologue Philippa Darbre4 reste sur ses positions et démontre le lien de causalité entre l’application d’anti-transpirants à base de sels l’aluminium et le développement de cancers du sein, en particulier ceux situés dans le quadrant supéro-latéral. En 2003, puis en 2004 avec le professeur Philip Harvey, elle découvre des taux plus élevés d’aluminium chez les femmes souffrant d’un cancer du sein. De plus, dans les années 2000, 60% des cancers féminins touchent cette zone, contre 30% dans les années 19405.

Si sels d’aluminium et cancer font encore débat, leurs effets neurotoxiques sont reconnus depuis le début des années 2000. À la demande de la Direction Générale de la Santé6, l’Afssa (devenue l’ANSES, Agence Nationale de Sécurité Sanitaire), l’Institut de veille sanitaire (devenu Santé Publique France) et l’ANSM s’emparent du sujet en 2003. Ils affirment que l’aluminium est apporté à l’organisme par voie orale à 95% :

  • Traitement de l’eau par les sels d’aluminium utilisés comme coagulants dans le procédé physico-chimique
  • Additifs alimentaires
  • Médicaments anti-acidité gastrique, dont les ions d’aluminium permettent de retrouver un ph neutre, et pour lesquels les effets indésirables à long terme sont précisés sur la notice5

Cette exposition chronique à l’aluminium entraine une accumulation dans l’organisme et provoque neurotoxicité (encéphalopathie, troubles psychomoteurs), atteinte du tissu osseux et anémie, en particulier chez les sujets dont la fonction rénale est altérée ou immature (prématurés) car c’est la principale voie d’évacuation2. Toutefois, concernant la maladie d’Alzheimer, en l’état actuel des connaissances, une relation causale n’est pas envisagée.

À noter que la pierre d’alun utilisée comme déodorant est une fausse bonne idée. Sous sa forme naturelle, elle est composée d’un sel double de sulfate d’aluminium et de potassium, nommé Potassium Alum7, pas complètement inoffensif pour la santé. Sa version synthétique, composée d’Ammonium Alum8, est carrément à proscrire.

Pour conclure le sujet de l’aluminium, Arte a diffusé en 2013, le reportage Planète Alu9 faisant état, entre autre, des effets de l’extraction et de la transformation du minerai sur l’environnement. À lui seul, il est responsable de l’abatage annuel de l’équivalent de 250 terrains de football de forêt primaire Brésilienne, pour en extraire une bauxite contenant plus de 50% d’alumine (le ratio10 est de 4 pour 1 : 4 tonnes de bauxite donneront 1 tonne d’aluminium).

Après extraction, son nettoyage consomme énormément d’eau, puisée à même les ressources naturelles disponibles, comme les lacs. Les minéraux pauvres en alumine y sont rejetés, asphyxiant toute vie aquatique. Puis, la bauxite finement broyée est mélangée à de la soude caustique afin de ne garder que l’alumine. Il en résulte une boue ocre hautement corrosive, qui sera entassée en décharge, c’est-à-dire dans de grands trous à même la forêt primaire.

Ensuite, la poudre d’alumine est transportée en usine de transformation jusqu’en Inde ou dans l’Union Européenne. En France, il en reste deux : à Saint-Jean-de-Maurienne en Savoie et à Loon-Plage, dans la banlieue de Dunkerque. La décomposition de l’alumine en aluminium se fait par électrolyse, procédé très gourmand en électricité qui consomme plus de 1%9 de l’électricité mondiale. Toutefois, c’est un matériau facilement recyclable, car sa refonte est moins énergivore et le taux de récupération de la matière est très élevé (contrairement au plastique).

utopylogie illustration des industries utilisant des sels d'aluminium : agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique et autres

Un autre composé polémique intégré dans les déodorants est le Triclosan. Ce biocide (antifongique et antibactérien à large spectre) était initialement employé pour le nettoyage chirurgical des mains. Massivement utilisé aux Etats-Unis depuis les années 90, on le retrouve dans plus de 200011 produits de consommation courante (cosmétiques, détergents, jouets, ustensiles de cuisine…). Dans les cosmétiques, il sert de conservateur, c’est-à-dire qu’il bloque le développement de micro-organismes afin de prolonger la durée de vie du produit. Dans les déodorants, il élimine les bactéries responsables des mauvaises odeurs12.

Le triclosan est un perturbateur endocrinien avéré dont l’Inserm13 a étudié les effets sur le comportement d’enfants (529 petits garçons de la cohorte mère-enfant EDEN) exposés in-utero. Les résultats de cette étude ont montré une augmentation des troubles émotionnels à 3 et 5 ans. L’équipe d’épidémiologie environnementale de Grenoble avait déjà mis en évidence une diminution du périmètre crânien à la naissance dans cette même population.

Évacué par les urines et les eaux de lavage, il se retrouve dans les eaux usées. Très néfaste pour l’environnement, c’est un micropolluant que les stations d’épuration ont du mal à nettoyer. Substance chimique stable14, il se dissout dans l’eau seulement en présence d’oxygène et de lumière (UV) permettant aux bactéries de prendre le relai. Lorsque ces deux facteurs ne sont pas réunis, le triclosan se fixe sur les sédiments et réduit la capacité des bactéries responsables du nettoyage biologique des eaux en station d’épuration. Le cocktail peut même devenir hautement toxique15 lorsqu’il est mélangé à du chlore.

Ainsi, à la sortie des stations d’épuration, il se retrouve dans nos rivières impactant la faune et la flore aquatique. Il a des conséquences sur la croissance des algues et compte-tenu de sa bioaccumulation, peut conduire à des niveaux détectables sur les maillons suivants de la chaine alimentaire aquatique16 (puis humaine). Il perturbe le système endocrinien de la faune et donc leur développement, croissance, reproduction et déplacements.

De plus, une étude récente17, datant de 2016, menée par l’Inra en collaboration avec l’Inserm, l’AP-HP (hôpital Cochin), l’Université Paris Descartes, l’Institut Pasteur et le CNRS, démontre l’apparition de souches résistantes aux antibiotiques par mutation du staphylocoque doré et des bactéries à Gram positif (des genres streptocoque, entérocoque et staphylocoque) au contact du triclosan.

Depuis 2017, la Commission Européenne a décidé de « ne pas approuver » son utilisation dans les produits désinfectants en contact avec la peau ou le cuir chevelu18. Néanmoins, son utilisation est limitée mais toujours permise, depuis 2014, comme conservateur dans certaines catégories de cosmétiques (dentifrices, fonds de teint et déodorants) avec une concentration maximale à 0,3% et les bains de bouche à 0,2%19. Il est en revanche interdit dans les produits de rasage.

utopylogie illustration des familles de produits contenant du triclosan et description de l'effet de micro-pollution sur les nappes souterraines et les rivières

En 2017, les ventes de déodorants en spray représentaient près de 2/320 du volume total. Pourtant, composés d’un déodorant sous forme liquide et d’un gaz sous pression permettant de l’expulser en aérosol, ils sont à éviter.

À partir des années 30, les gaz propulseurs utilisés étaient les CFC chlorofluorocarbures. Relativement stables et surtout non inflammables, ils permettaient un usage domestique en toute sécurité. Cependant, ils se sont avérés détruire la couche d’ozone et donc augmenter le réchauffement climatique par un puissant effet de serre. Ils ont donc été interdits par le protocole de Montréal, en vigueur depuis 1989 et signé par l’Union Européenne et 24 autres pays.

Dorénavant, dans les déodorants, on utilise des gaz propulseurs issus de la transformation d’hydrocarbures fossiles : le butane21, le propane et l’isobutane. Des gaz à fort effet de serre, inflammables et explosifs. Cette information est précisée sur l’emballage par un pictogramme sous forme de losange rouge22. Sont également utilisés des gaz inertes, donc sans risque d’inflammabilité, comme l’azote et le dioxyde de carbone.

Ils n’en restent pas moins des gaz toxiques. Inhalés pour y trouver un état proche de l’ébriété, ils sont responsables de lésions neurotoxiques et de la privation d’oxygène dans le sang pouvant entrainer la mort23. On constate également que ces gaz propulseurs et autres composés comme les parfums, issus de la chimie industrielle de synthèse à base de dérivés pétroliers24, utilisés dans les déodorants et produits de beauté (shampooings secs, laques…) mais également dans les produits ménagers et de bricolage, sont responsables de la moitié25 de la pollution dans les villes industrialisés.

Ainsi, le nombre croissant de polémiques sur les ingrédients controversés en cosmétique a poussé certaines marques à changer la composition de leurs produits d’hygiène, à commencer par les déodorants. Depuis une petite dizaine d’années, des gammes zéro % sont mêmes apparues et la communication sur les packagings fait l’apologie des substances qui ne sont plus utilisées. Le texte « sans » représente 20%26 des allégations visibles en cosmétique car attrayantes sur le plan commercial du fait de l’attention des médias.

En 2017, les ventes de produits « sans parabènes » (de loin l’allégation la plus utilisée) ont augmenté de 2,3% par rapport à 2016, alors que les ventes de cosmétiques reculaient de 0,9%, rappelle l’étude The future of beauty réalisée en 2018 par Nielsen27. Ces conservateurs de synthèse ont été remplacés dans la majorité des cas par le méthylisothiazolinone28, plus connu sous l’appellation MIT. Pourtant très allergisant voire toxique29, il n’est pas encore dans le viseur des autorités et des médias.

Pour étayer mon propos, voici le décryptage de l’étiquette du déodorant spray Sanex Zero% Fragrance Compressé dont le packaging précise 0% d’alcool, 0% d’anti-transpirant de synthèse et 0% de parfum. Rappelez-vous que les ingrédients sont toujours notés par ordre décroissant. Le premier ingrédient est donc celui qui est le plus présent. Et vous allez vite vous rendre compte que sur les 9 ingrédients présents, un seul sert vraiment à lutter contre la transpiration…

  • Isobutane : gaz propulseur issu des hydrocarbures
  • Butane : gaz propulseur issu des hydrocarbures
  • Cyclomethicone : substance controversée de synthèse. C’est un mélange de silicones suspecté d’être un perturbateur endocrinien et difficilement biodégradable qui apporte un touché soyeux à la peau
  • Propane : gaz propulseur issu des hydrocarbures
  • Dimethicone : silicone peu biodégradable qui apporte un touché soyeux à la peau
  • Potassium Alum : placé en 6ème position de la liste des ingrédients, nous l’avons vu plus haut, c’est le composé principal de la pierre d’alun, pas complètement inoffensif pour notre santé. Donc nous pouvons facilement déduire que le seul et unique ingrédient actif contre la transpiration est de la pierre d’alun réduite en poudre
  • Disteardimonium Hectorite : ingrédient d’origine synthétique et pas complètement inoffensif, il améliore la dispersion des micro-goutelettes de spray
  • Propylene Carbonate : agent de contrôle de la viscosité du déodorant
  • Dimethiconol : silicone qui maintient la peau douce et lisse

C’est pourquoi, les allégations 0% ont été réformées en 201930. Il sera dorénavant interdit de parler :

  • D’ingrédients controversés, comme « sans triclosan » ou « sans sels d’aluminium»
  • Des familles de substances dans lesquelles certains produits sont autorisés et les plus nocifs interdits, comme par exemple la famille des parabènes.

Dorénavant, l’expression « sans » devra donner une information utile au bénéfice des consommateurs et de leurs problèmes de santé particuliers (allergies, peau sensible…), de leur mode de vie ou de leurs convictions (éthique, environnementale, religieuse…). Le but est donc de communiquer sur les ingrédients présents, sans dénigrer les autres.

Je vous l’accorde, il est extrêmement difficile de déjouer les pièges de l’industrie cosmétique, que ce soit pour du déodorant ou tout autre produit. Il semblerait qu’une des solutions soit de potasser la nomenclature INCI (International Nomenclature of Cosmetic Ingredients) afin de devenir expert.e en déchiffrage d’étiquettes de composition… Ce qui demande un peu de temps… Pour les autres, plusieurs solutions :

  • La première étant de faire confiance à des « blogueuses expertes », comme La petite Gaby. Sa chaine Youtube est une mine d’informations. Elle décrypte les étiquettes et les stratégies marketing de nombreuses marques en vidéo.
  • La seconde solution est de télécharger une application de notation des produits cosmétiques comme QuelCosmetic, Yuka (alimentation & cosmétique) ou INCI Beauty… sans pour autant leur donner notre entière confiance. La petite Gaby a fait une vidéo très intéressante à ce sujet. Elle explique les ratés par une trop grande base de données produits en circulation dans l’Union Européenne (800 000 à ce jour) et donc des compositions difficiles à mettre à jour, une notation aléatoire des ingrédients décriés, la minimisation de certains critères et la maximisation d’autres (comme les allergènes d’origine naturelle), la complexité de la formulation versus le marketing…
  • La troisième solution, qui est celle que j’ai choisie, notamment pour les déodorants : faire soi-même. Plusieurs recettes efficaces sont disponibles ici.
  • La quatrième solution, que j’ai choisie pour les produits que je ne fais pas moi-même : faire confiance aux labels officiels de la cosmétique biologique (Cosmébio, Écocert, Nature & Progrès, BDIH (Allemagne), Natrue (Belgique)) qui garantissent à minima :
    • Une composition à 95% d’ingrédients naturels (végétaux, minéraux et eau)
    • 95 à 100% des végétaux utilisés issus de l’agriculture biologique
    • Jusqu’à 5% d’ingrédients de synthèse (donc non naturels) issus d’une liste restrictive, notamment des conservateurs (5 sur les 59 existants sont autorisés)
    • Des procédés de fabrication non polluants

Pour finir, je vous présente une liste de 3 déodorants biologiques et efficaces que nous avons utilisés de nombreuses années avant de passer au Do It Yourself.

utopylogie déodorant au citrus weleda à l'huile essentielle de citron dans un flacon en verre équipé d'un pulvérisateur
Déodorant au citrus, Weleda
  • Certifié Natrue
  • Convient aux vegan
  • À l’huile essentielle de citron
  • Odeur légèrement citronnée
  • Flacon en verre équipé d’un pulvérisateur (donc sans gaz propulseur)
Utopylogie Déodorant purifiant Melvita aux huiles essentielles de menthe poivrée, santal et thym. Dans un flacon en verre équipé d'une déo-bille
Déodorant purifiant, Melvita
  • Certifié Cosmebio
  • Convient aux vegan
  • Aux huiles essentielles de menthe poivrée, santal et thym
  • Flacon en verre équipé d’une déo-bille
Utopylogie Déodorants à la vanille et à l'hibiscus Ushuaïa beauté. Déo-bille, format compact à emporter
Déodorant à l’hibiscus, Ushuaïa
  • Certifié Cosmebio
  • Parfum floral très agréable
  • Emballage en plastique équipé d’une déo-bille
  • Format compact à emporter

[1] Pourquoi la transpiration sent parfois mauvais?, Huffington Post Canada, 2016

[2] Lien de téléchargement, rapport d’expertise, Évaluation du risque lié à l’utilisation de l’aluminium dans les produits cosmétiques, Afssaps, 2011

[3] Utilisation de déodorants / antitranspirants et risque de cancer du sein, Cancer Environnement, 2019

[4] Page Wikipédia du film documentaire Aluminium, notre poison quotidien

[5] Documentaire Planète Alu, planète toxique, Youtube

[6] Lien de téléchargement, Evaluation des risques sanitaires liés à l’exposition de la population française à l’aluminium – Eaux, aliments, produits de santé -, Institut de Veille Sanitaire, Afssa et Affsaps

[7] Potassium Alum, fiche INCI Beauty

[8] Ammonium Alum, fiche INCI Beauty

[9] Succès d’audience pour « Planète alu », 2013

[10] Aluminium, sa production, Le portail de l’aluminium en France

[11] A common antimicrobial additive increases colonic inflammation and colitis-associated colon tumorigenesis in mice, Science Translational Medicine, 2018

[12] Le triclosan, le perturbateur endocrinien encore toléré, Doctissimo, 2020

[13] Exposition prénatale aux perturbateurs endocriniens et troubles du comportement des enfants, Inserm (salle de presse), 2017

[14] Le triclosan et la résistance aux antibiotiques, Comité Scientifique Européen pour la Sécurité des Consommateurs, 2010

[15] Triclosan : l’antibactérien dangereux pour l’Homme et son environnement, Futura Sciences, 2013

[16] Téléchargement, thèse, Impact éco-toxicologique du triclosan sur le milieu aquatique : Analyse des données de la littérature, Université Lyon 1, Bazy Sophie, 2018

[17] Communiqué de presse, Staphylocoque doré : décryptage d’une stratégie de résistance à certains antimicrobiens, AP-HP, 2016

[18] Triclosan, Types de produits, ECHA European Chemicals Agency

[19] L’appel à la précaution de la communauté scientifique sur le triclosan, Sciences et avenir, 2017

[20] Les déodorants entre performance et naturalité, LSA Conso, 2018

[21] Butane, fiche INCI Beauty

[22] Comprendre les deux systèmes d’étiquetage des produits chimiques, INRS, 2020

[23] Inhalation mortelle d’un déodorant corporel, Allo Docteurs, 2012

[24] Pollution de l’air, des mauvaise habitudes à oublier, Que Choisir

[25] Et si les déodorants polluaient autant que les voitures ?, Conso Globe, 2018

[26] Rapport de la commission au parlement Européen et au conseil sur les allégations relatives aux produits reposant sur des critères communs dans le domaine des produits cosmétiques, 2016

[27] Cosmétiques: pourquoi la mention « sans paraben » va disparaître de vos rayons, Challenges, 2019

[28] Methylisothiazolinone, fiche INCI Beauty

[29] Téléchargement, fiche toxicologique Methylisothiazolinone, INRS

[30] Allégations « sans » dans les produits cosmétiques : précisions des autorités de contrôle, Direction Générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, 2020


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